Karima créé ce guide

Karim
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Lieux emblématiques

L’enceinte est vaste avec ses interminables avenues et places gigantesques. Le circuit de prés de 13 kilomètres environ permet d’apprécier l’ampleur des remparts qui couvrent une ceinture de 25 kilomètres. La cité a été classée patrimoine mondial par l’Unesco en 1996. Elle a subi, ces dernières années, de nombreuses rénovations. Une partie des édifices renaissent de leurs vestiges, retrouvant un aspect proche de leur splendeur d’antan.
Cite Imperiale
L’enceinte est vaste avec ses interminables avenues et places gigantesques. Le circuit de prés de 13 kilomètres environ permet d’apprécier l’ampleur des remparts qui couvrent une ceinture de 25 kilomètres. La cité a été classée patrimoine mondial par l’Unesco en 1996. Elle a subi, ces dernières années, de nombreuses rénovations. Une partie des édifices renaissent de leurs vestiges, retrouvant un aspect proche de leur splendeur d’antan.
Ou Heri Souani : Il est appelé à tort «grenier» ou «écurie» de Moulay Ismail. La chronique de l’époque rapporte que le bâtiment contenait jusqu’à 12 000 chevaux. En fait, ses dimensions sont colossales, à travers 23 nefs, portées par des piliers et des arches.
Royal Stables
Ou Heri Souani : Il est appelé à tort «grenier» ou «écurie» de Moulay Ismail. La chronique de l’époque rapporte que le bâtiment contenait jusqu’à 12 000 chevaux. En fait, ses dimensions sont colossales, à travers 23 nefs, portées par des piliers et des arches.
En vous rendant au tombeau de Moulay Ismaïl vous longez d’énigmatiques murailles et d’immenses portails fermés. Empruntez ensuite la rue face à l’entrée de Dar El Ma. Pour atteindre le mausolée vous traversez le méchouar place d’armes ceinte de hauts murs. A gauche de l’esplanade s’ouvre la principale porte du palais royal. Un passage permet d’accéder à une rue bordée des deux côtés de remparts crénelés. Les portes de bois sont ornées de céramiques. De là vous pouvez atteindre Bab er-Rih.
Tombeau de Moulay Ismail
En vous rendant au tombeau de Moulay Ismaïl vous longez d’énigmatiques murailles et d’immenses portails fermés. Empruntez ensuite la rue face à l’entrée de Dar El Ma. Pour atteindre le mausolée vous traversez le méchouar place d’armes ceinte de hauts murs. A gauche de l’esplanade s’ouvre la principale porte du palais royal. Un passage permet d’accéder à une rue bordée des deux côtés de remparts crénelés. Les portes de bois sont ornées de céramiques. De là vous pouvez atteindre Bab er-Rih.
La porte du vent, aux grands piliers de marbre est un long corridor voûté formé par une succession d’arcs en tiers-point reposant sur de longues colonnes. Derrière le haut mur à droite, le jardin des Sultanes a été aménagé en terrain de golf de neuf trous. La route longe le palais royal et tourne à droite pour traverser le méchouar avant de passer entre le jardin de l’école d’horticulture et celui du palais pour arriver à Dar El Ma. De Bab er-Rih, on débouche à l’ouest sur une place menant au tombeau de Moulay Ismaïl.
Bab Rih
La porte du vent, aux grands piliers de marbre est un long corridor voûté formé par une succession d’arcs en tiers-point reposant sur de longues colonnes. Derrière le haut mur à droite, le jardin des Sultanes a été aménagé en terrain de golf de neuf trous. La route longe le palais royal et tourne à droite pour traverser le méchouar avant de passer entre le jardin de l’école d’horticulture et celui du palais pour arriver à Dar El Ma. De Bab er-Rih, on débouche à l’ouest sur une place menant au tombeau de Moulay Ismaïl.
Construit en 1703 et restauré en 1960. Une enfilade de patios bordés de murs aveugles conduit à la cour aux ablutions, entourée d’une colonnade. Le long des murs, court une frise en stuc. La salle du mausolée est séparée en deux parties : l’une profane et l’autre sacrée. A droite se situent les tombeaux royaux : Moulay Ismaïl repose entouré de membres de sa famille. Aux angles de la pièce se dressent quatre horloges comtoises; offertes au sultan par Louis XIV. Sur le mur du fond, l’arbre généalogique des Alaouites est déroulée à l’horizontale. A gauche, une salle merveilleusement ornée fait office d’antichambre. Une délicate fontaine de marbre dans un bassin en forme de sceau de Salomon occupe le centre de la pièce. Admirez le plafond en bois de cèdre, datant du 17ème siècle.
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Mausoléu de Mouley Ismail
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Construit en 1703 et restauré en 1960. Une enfilade de patios bordés de murs aveugles conduit à la cour aux ablutions, entourée d’une colonnade. Le long des murs, court une frise en stuc. La salle du mausolée est séparée en deux parties : l’une profane et l’autre sacrée. A droite se situent les tombeaux royaux : Moulay Ismaïl repose entouré de membres de sa famille. Aux angles de la pièce se dressent quatre horloges comtoises; offertes au sultan par Louis XIV. Sur le mur du fond, l’arbre généalogique des Alaouites est déroulée à l’horizontale. A gauche, une salle merveilleusement ornée fait office d’antichambre. Une délicate fontaine de marbre dans un bassin en forme de sceau de Salomon occupe le centre de la pièce. Admirez le plafond en bois de cèdre, datant du 17ème siècle.
Traversez la petite place pour atteindre la prison des Chrétiens. Le petit édifice couronné d’un dôme est la Koubat el Khayatine. Cet ancien pavillon servait de salle de réception pour les dignitaires étrangers et les ambassadeurs. Plus tard, des tailleurs (khyatine) utilisèrent la koubba comme atelier de confection des tenues militaires. La Médina : La médina de Meknès abrite de remarquables monuments. Bordée de tout côtés par de hauts remparts, la place Lalla Aouda est le point de départ de la visite de la médina. Elle donne accès au sud-est, à la cité impériale; et au nord-ouest à la médina. Juste à côté vous pouvez remarquer la petite mosquée Lalla Aouda. Elle aurait été construite par la princesse du même nom.
Koubat Al Khayatine
شارع محمد السادس مكناس
Traversez la petite place pour atteindre la prison des Chrétiens. Le petit édifice couronné d’un dôme est la Koubat el Khayatine. Cet ancien pavillon servait de salle de réception pour les dignitaires étrangers et les ambassadeurs. Plus tard, des tailleurs (khyatine) utilisèrent la koubba comme atelier de confection des tenues militaires. La Médina : La médina de Meknès abrite de remarquables monuments. Bordée de tout côtés par de hauts remparts, la place Lalla Aouda est le point de départ de la visite de la médina. Elle donne accès au sud-est, à la cité impériale; et au nord-ouest à la médina. Juste à côté vous pouvez remarquer la petite mosquée Lalla Aouda. Elle aurait été construite par la princesse du même nom.
La médina de Meknès abrite de remarquables monuments. Bordée de tout côtés par de hauts remparts, la place Lalla Aouda est le point de départ de la visite de la médina. Elle donne accès au sud-est, à la cité impériale; et au nord-ouest à la médina. Juste à côté vous pouvez remarquer la petite mosquée Lalla Aouda. Elle aurait été construite par la princesse du même nom.
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Medina
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La médina de Meknès abrite de remarquables monuments. Bordée de tout côtés par de hauts remparts, la place Lalla Aouda est le point de départ de la visite de la médina. Elle donne accès au sud-est, à la cité impériale; et au nord-ouest à la médina. Juste à côté vous pouvez remarquer la petite mosquée Lalla Aouda. Elle aurait été construite par la princesse du même nom.
A l’extrémité ouest de la place se dresse la monumentale porte Mansour, dernier monument édifié par Moulay Ismail. Considéré comme un fleuron architectural, cette porte a été entamée quelque temps avant la mort de Moulay Ismaïl. Sa construction est achevée après par son fils Moulay Abdellah en 1723: entrelacs en relief sur fond de mosaïques à dominantes vertes, losanges incrustés de céramiques, hautes colonnes en marbre. C’est un architecte chrétien converti à l’islam, «Mansour le rénégat», el-Aleuj, qui aurait conçu ce chef d’œuvre.Juste à côté de ce monument vous pouvez découvrir la discrète porte Jemaâ en Nouar également ornée de céramique.
Bab Mansour
Rue Dar Smen
A l’extrémité ouest de la place se dresse la monumentale porte Mansour, dernier monument édifié par Moulay Ismail. Considéré comme un fleuron architectural, cette porte a été entamée quelque temps avant la mort de Moulay Ismaïl. Sa construction est achevée après par son fils Moulay Abdellah en 1723: entrelacs en relief sur fond de mosaïques à dominantes vertes, losanges incrustés de céramiques, hautes colonnes en marbre. C’est un architecte chrétien converti à l’islam, «Mansour le rénégat», el-Aleuj, qui aurait conçu ce chef d’œuvre.Juste à côté de ce monument vous pouvez découvrir la discrète porte Jemaâ en Nouar également ornée de céramique.
En face de Bab Mansour, la place Lahdim surprend par ses vastes proportions. Point de rencontre de la médina et de la cité impériale, cette vaste esplanade est un passage incontournable pour l’accès aux souks. Vous aurez aussi plaisir à y prendre un verre de thé en observant l’animation. Les lieux se transforment à la tombée du jour en véritable champ de foire animé par des cracheurs de feux, des conteurs et vendeurs ambulants etc. Le côté sud de la place est bordé d’un marché alimentaire couvert.…
Place Lahdim
En face de Bab Mansour, la place Lahdim surprend par ses vastes proportions. Point de rencontre de la médina et de la cité impériale, cette vaste esplanade est un passage incontournable pour l’accès aux souks. Vous aurez aussi plaisir à y prendre un verre de thé en observant l’animation. Les lieux se transforment à la tombée du jour en véritable champ de foire animé par des cracheurs de feux, des conteurs et vendeurs ambulants etc. Le côté sud de la place est bordé d’un marché alimentaire couvert.…
Le bâtiment souterrain a été vraisemblablement conçu et utilisé comme un espace de stockage du grain. Une légende persistance le présente comme une gigantesque prison. Elle aurait été réalisée par un captif portugais auquel Moulay Ismaïl aurait promis la liberté s’il parvenait à construire une geôle contenant 40 000 personnes On y accède par un escalier aux marches irrégulières qui s’enfonce dans le sol. Un vaste espace voûté s’ouvre devant vous, faiblement éclairé par de petites ouvertures pratiquées dans le plafond. Les souterrains originels auraient atteint 7 kilomètres de long. Dos à la prison des Chrétiens, engagez vous dans la rue sur votre gauche et vous rejoindrez la place Lalla Aouda.
Prison de Kara
Le bâtiment souterrain a été vraisemblablement conçu et utilisé comme un espace de stockage du grain. Une légende persistance le présente comme une gigantesque prison. Elle aurait été réalisée par un captif portugais auquel Moulay Ismaïl aurait promis la liberté s’il parvenait à construire une geôle contenant 40 000 personnes On y accède par un escalier aux marches irrégulières qui s’enfonce dans le sol. Un vaste espace voûté s’ouvre devant vous, faiblement éclairé par de petites ouvertures pratiquées dans le plafond. Les souterrains originels auraient atteint 7 kilomètres de long. Dos à la prison des Chrétiens, engagez vous dans la rue sur votre gauche et vous rejoindrez la place Lalla Aouda.
Le palais Dar Jamai demeure du 19ème siècle est l‘exemple typique d’une habitation bourgeoise du XIXème siècle. Il abrite le musée régional d’ethnographie. Son entrée donne sur la place Lahdim, à l’extrémité opposée de Bab Mansour. Ce monument est connu communément sous le nom de ‘‘Dar Jamai’’ ‘‘Maison Jamai’’ ou ‘‘Palais Jamai’’. Situé à la limite de la place Lahdim et de la médina, le palais Jamai a été construit en 1881-1882 par le vizir Mokhtar Ben Larbi Jamai sous le règne de Moulay Hassan (1873-1894). Un long couloir mène à un très beau jardin intérieur de style andalou. Autour des fontaines ornementées croissent bananiers, palmiers, rosiers et orangers. A droite de l’entrée, une terrasse décorée de bois peint servait d’estrade de réception. A gauche se trouvait la mosquée du palais. Le rez-de-chaussée présente de belles collections d’artisanat: mobilier en bois travaillé; jarres et plats de céramique; tapis et tissus; broderies de Meknès; bijoux traditionnels. Le superbe minbar de la fin du 17ème siècle est l’une des pièces maîtresse du musée. A l’étage, le luxueux salon d’apparat du grand vizir a été restauré. De là, vous pouvez arpenter la rue Sebaghine pour rejoindre la rue Nejjarine.
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Dar Jamai Museum
Place el-Hedime
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Le palais Dar Jamai demeure du 19ème siècle est l‘exemple typique d’une habitation bourgeoise du XIXème siècle. Il abrite le musée régional d’ethnographie. Son entrée donne sur la place Lahdim, à l’extrémité opposée de Bab Mansour. Ce monument est connu communément sous le nom de ‘‘Dar Jamai’’ ‘‘Maison Jamai’’ ou ‘‘Palais Jamai’’. Situé à la limite de la place Lahdim et de la médina, le palais Jamai a été construit en 1881-1882 par le vizir Mokhtar Ben Larbi Jamai sous le règne de Moulay Hassan (1873-1894). Un long couloir mène à un très beau jardin intérieur de style andalou. Autour des fontaines ornementées croissent bananiers, palmiers, rosiers et orangers. A droite de l’entrée, une terrasse décorée de bois peint servait d’estrade de réception. A gauche se trouvait la mosquée du palais. Le rez-de-chaussée présente de belles collections d’artisanat: mobilier en bois travaillé; jarres et plats de céramique; tapis et tissus; broderies de Meknès; bijoux traditionnels. Le superbe minbar de la fin du 17ème siècle est l’une des pièces maîtresse du musée. A l’étage, le luxueux salon d’apparat du grand vizir a été restauré. De là, vous pouvez arpenter la rue Sebaghine pour rejoindre la rue Nejjarine.
Prend le nom de la rue Nejjarine : Cette dernière artère regroupe la plupart des souks souvent couverts de treilles ou de roseaux. En prenant la rue Nejjarine vers la gauche on se trouve dans un souk de textile regorgeant de nappes brodées typiques de Meknès avant d’atteindre la mosquée Nejjarine, monument almoravide du 12ème siècle. Revenez sur vos pas juste après le croisement. A la rue Sebaghine s’ouvre sur la droite le souk el Haïk de la laine. Poursuivez dans la rue jusqu’à la médersa Bou Inania .
Mosquée Nejjarine
Prend le nom de la rue Nejjarine : Cette dernière artère regroupe la plupart des souks souvent couverts de treilles ou de roseaux. En prenant la rue Nejjarine vers la gauche on se trouve dans un souk de textile regorgeant de nappes brodées typiques de Meknès avant d’atteindre la mosquée Nejjarine, monument almoravide du 12ème siècle. Revenez sur vos pas juste après le croisement. A la rue Sebaghine s’ouvre sur la droite le souk el Haïk de la laine. Poursuivez dans la rue jusqu’à la médersa Bou Inania .
Achevé en 1358, ce chef d’œuvre de style hispano-mauresque est bâti selon des plans classiques d’école coranique: cour centrale avec vasque, entourée d’une galerie et d’une salle de prière et à l’étage composé de minuscules cellules pour les étudiants. En contournant la grande mosquée, sur votre gauche se trouve la Kissaria consacrée au textile. Si vous tournez à droite vous atteignez la place Lahdim.
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Madrasa Bou Inania
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Achevé en 1358, ce chef d’œuvre de style hispano-mauresque est bâti selon des plans classiques d’école coranique: cour centrale avec vasque, entourée d’une galerie et d’une salle de prière et à l’étage composé de minuscules cellules pour les étudiants. En contournant la grande mosquée, sur votre gauche se trouve la Kissaria consacrée au textile. Si vous tournez à droite vous atteignez la place Lahdim.
La Grande Mosquée ‘‘Jamaâ Al Kabir’’ Fondée par les Almoravides au XIIème siècle, elle fut remaniée à plusieurs reprises à l’époque des Almohades, des Mérinides et surtout sous la règne de Moulay Ismail. Elle se caractérise par de belles portes aux beaux auvents sculptés. La grande Mosquée constitue le monument religieux le plus important de l’ancienne médina; elle est entourée de souks pittoresques par leur aspect et par l’atmosphère qui y règnent.
Grande Mosquee
La Grande Mosquée ‘‘Jamaâ Al Kabir’’ Fondée par les Almoravides au XIIème siècle, elle fut remaniée à plusieurs reprises à l’époque des Almohades, des Mérinides et surtout sous la règne de Moulay Ismail. Elle se caractérise par de belles portes aux beaux auvents sculptés. La grande Mosquée constitue le monument religieux le plus important de l’ancienne médina; elle est entourée de souks pittoresques par leur aspect et par l’atmosphère qui y règnent.
Située sur les contreforts du massif de Zerhoun, à 30 kilomètres de Meknès, Volubilis tire son nom du mot berbère Oualili, qui désigne la fleur colorée du liseron, plante abondante dans la région. Appelée Ksar Pharaoun (Palais du Pharaon), la ville romaine de Volubilis vaut le détour. Elle surgit devant vous avec ses vestiges, les colonnes en marbre blanc de son temple et la silhouette altière de l’arc de triomphe. C’est le site archéologique le plus vaste du Maroc avec 18 hectares accessible au public sur une surface totale estimée à 40 hectares. Inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco en 1997, le site doit sa renommée aux nombreuses mosaïques qui ornent ses antiques demeures. Les archéologues les attribuent à des artisans locaux; en raison de la simplicité du décor et de leurs motifs souvent géométriques; semblables à ceux des tapis tissés par les Berbères. Leur présence contribue à recréer l’atmosphère et le faste des villes romaines. Prenez le temps de flâner dans ce dédale de ruines romaines. Les mosaïques encore visibles sont très jolies et l’architecture est étonnante.
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Volubilis
Rte de Volubilis
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Située sur les contreforts du massif de Zerhoun, à 30 kilomètres de Meknès, Volubilis tire son nom du mot berbère Oualili, qui désigne la fleur colorée du liseron, plante abondante dans la région. Appelée Ksar Pharaoun (Palais du Pharaon), la ville romaine de Volubilis vaut le détour. Elle surgit devant vous avec ses vestiges, les colonnes en marbre blanc de son temple et la silhouette altière de l’arc de triomphe. C’est le site archéologique le plus vaste du Maroc avec 18 hectares accessible au public sur une surface totale estimée à 40 hectares. Inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco en 1997, le site doit sa renommée aux nombreuses mosaïques qui ornent ses antiques demeures. Les archéologues les attribuent à des artisans locaux; en raison de la simplicité du décor et de leurs motifs souvent géométriques; semblables à ceux des tapis tissés par les Berbères. Leur présence contribue à recréer l’atmosphère et le faste des villes romaines. Prenez le temps de flâner dans ce dédale de ruines romaines. Les mosaïques encore visibles sont très jolies et l’architecture est étonnante.
Moulay Driss Zerhoun est la première cité musulmane en Afrique du Nord, Zerhoun. Elle a pris le nom de son fondateur Moulay Idriss. Située à 25 kilomètres de Meknès, cette petite ville surplombe un site magnifique qui abrite les ruines de Volubilis l’ancienne cité romaine. Jusqu’en 1917, la ville a été interdite aux non Musulmans. Aujourd’hui encore, elle est uniquement peuplée de Musulmans et a conservé son caractère de ville sainte. Elle abrite le sanctuaire d’Idriss Premier. L’actuel mausolée date du XVIIIème siècle et fut élevé par Moulay Ismaïl. Lancés en 2003, des travaux de réaménagement de la grande place de Zerhoun ont porté sur la restauration des portes historiques donnant sur la place. Le projet a été supervisé par le ministère de la Culture; le but étant la création d’une grande esplanade piétonne propice aux manifestations culturelles et religieuses, l’aménagement des espaces «plantes» et de rampes d’accès pour handicapés, la restauration de l’ancienne porte d’accès au Mausolée Moulay Idriss et de la fontaine existante. Les hauteurs de Moulay Idriss offrent une belle vue sur le mausolée ainsi que sur l’enchevêtrement des ruelles et des maisonnettes qui l’entourent. De Moulay Idriss vous pouvez atteindre Volubilis à pied par différents chemins plus au moins exigeants. Il est, cependant, recommandé, de faire appel à un guide.
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Moulay Idriss Zerhoun
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Moulay Driss Zerhoun est la première cité musulmane en Afrique du Nord, Zerhoun. Elle a pris le nom de son fondateur Moulay Idriss. Située à 25 kilomètres de Meknès, cette petite ville surplombe un site magnifique qui abrite les ruines de Volubilis l’ancienne cité romaine. Jusqu’en 1917, la ville a été interdite aux non Musulmans. Aujourd’hui encore, elle est uniquement peuplée de Musulmans et a conservé son caractère de ville sainte. Elle abrite le sanctuaire d’Idriss Premier. L’actuel mausolée date du XVIIIème siècle et fut élevé par Moulay Ismaïl. Lancés en 2003, des travaux de réaménagement de la grande place de Zerhoun ont porté sur la restauration des portes historiques donnant sur la place. Le projet a été supervisé par le ministère de la Culture; le but étant la création d’une grande esplanade piétonne propice aux manifestations culturelles et religieuses, l’aménagement des espaces «plantes» et de rampes d’accès pour handicapés, la restauration de l’ancienne porte d’accès au Mausolée Moulay Idriss et de la fontaine existante. Les hauteurs de Moulay Idriss offrent une belle vue sur le mausolée ainsi que sur l’enchevêtrement des ruelles et des maisonnettes qui l’entourent. De Moulay Idriss vous pouvez atteindre Volubilis à pied par différents chemins plus au moins exigeants. Il est, cependant, recommandé, de faire appel à un guide.
C’est un bassin artificiel de 4 ha, construit sur l’ordre de Moulay Ismaïl pour irriguer les jardins des sultanes et permettre aux femmes de son harem (on dit que leur nombre approchait de 500) de se distraire. Ce bassin servait également de réserve d’eau en temps de guerre ou de sécheresse, il est irrigué par 25 km de canaux. Véritable bouffée d'air dans la ville, cet endroit est très appréciable, lui qui a été aménagé aujourd'hui en un espace de loisirs. En face s'élèvent les greniers de Moulay Ismaïl. Ressortir et longer les murailles pour y parvenir.
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Bassin Souani
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C’est un bassin artificiel de 4 ha, construit sur l’ordre de Moulay Ismaïl pour irriguer les jardins des sultanes et permettre aux femmes de son harem (on dit que leur nombre approchait de 500) de se distraire. Ce bassin servait également de réserve d’eau en temps de guerre ou de sécheresse, il est irrigué par 25 km de canaux. Véritable bouffée d'air dans la ville, cet endroit est très appréciable, lui qui a été aménagé aujourd'hui en un espace de loisirs. En face s'élèvent les greniers de Moulay Ismaïl. Ressortir et longer les murailles pour y parvenir.

Conselho para os viajantes

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GASTRONOMIE

L’art culinaire meknassi est riche et diversifiée avec des saveurs marocaines directement issues d’un savoir-faire séculaire.
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SHOPPINGS

Vous serez comblé à Meknès. Les souks à la médina, les grandes surfaces, les boutiques et les centres commerciaux proposent des produits d’artisanat originaux, maroquinerie, habits traditionnels et marques de prêt-à-porter comme la haute couture.
Não perca

SPORTS ET LOISIRS

Les férus du sport et de la nature, peuvent s’adonner à plusieurs disciplines : golf, équitation, natation, tennis, athlétisme et autres sports d’équipe.
Costumes e cultura

ARTS ET CULTURE

Meknès est riche par sa musique arabo-andalouse, le Malhoune, le Samaâ et l’art Aïssaoua. C’est aussi un vivier de métiers traditionnels, avec un cachet authentique et spécifique.
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Le Musée des Arts Marocains

Le Palais Jamai, ancienne demeure d’un vizir, abrite le musée des Arts Marocains et ses fastueuses collections de faïences, broderies, tapis, boiseries, bijoux... Les décors de zelliges, de plâtres sculptés et de bois peint, tout autant que le jardin andalou planté de cyprès et d’arbres fruitiers, donnent une belle idée du luxe que pouvait atteindre une maison de la haute bourgeoisie de la ville. Ce musée consacré à l’artisanat de la région vaut le détour.
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Où Sortir

Où manger? Où prendre un verre de thé et déguster une pâtisserie? Où sortir le soir… Meknès vous offre l’embarras du choix.
Costumes e cultura

Festival International de Volubilis

Organisé, chaque année, à l’initiative du ministère de la Culture, le Festival international de Volubilis rend hommage au glorieux passé du patrimoine culturel méditerranéen, à travers la participation d’artistes et troupes de chant et de danse méditerranéens. Retrouvez plus d’informations sur le Festival International de Volubilis sur Pro-Festivals.
Costumes e cultura

Moussem de Moulay Idriss Zerhoun

Est la plus grande fête religieuse que connaît cette petite ville sainte. Celle-ci abrite le mausolée du fondateur de la première dynastie musulmane marocaine, «Les Idrissides». Chaque année, à la fin de l’été, les différentes corporations de la médina viennent rendre hommage à leur saint, apportant de nombreuses offrandes et sacrifices accompagnés de chants et de musiques dont la reproduction de nombreuses processions de troupes folkloriques telles que les Aissaoua, les Hmadcha et les Hal Touat. À la fin du mois d’août/an, des milliers de pèlerins se rendent sur le tombeau de Moulay Idriss.
Costumes e cultura

Moussem de Sidi Ali Ben Hamdouch

Sidi Ali Ben Hamdouche est un descendant direct de Sidi El Hadi Benaïssa, connu sous le nom de Cheïkh El Kamel, enterré à Meknès. Le moussem de ce fondateur de la confrérie des Hmadchas, se tient chaque année dans une petite localité abritant son mausolée, relevant de la commune Mghassyine et ce pendant une semaine après les sept jours de la fête du Mouloud, qui célèbre la naissance du Prophète. El Hadi Ben Aïssa, le Cheïkh El Kamel est le fondateur de la confrérie des Aïssaouas
Costumes e cultura

Moussem Sidi Ahmed Dghoughi

Sidi Ahmed Dghoughi, disciple de Cheïkh El Kamel Ben Aïssa et de Sidi Ali Ben Hamdouche était un mystique et un soufi qui a consacré sa vie à la prière et à la crainte de Dieu.
Costumes e cultura

Moussem de l'artisanat

Organisé au mois de décembre il fête les activités artisanales de Meknès : tapisserie, céramique d’art, ferronnerie, dinanderie damasquinerie et ébénisterie. Ce moussem met en avant le savoir-faire et le talent séculaire de plus de 36 000 artisans de la région.
Costumes e cultura

Musée de la Poterie de Meknès

Musée Borj Belkari compte parmi les musées thématiques, malheureusement rares au Maroc, et consacré à la poterie de le région du Rif et du Pré-Rif. C’est une Institution culturelle récente, ayant ouvert ses portes en 2004, pour contribuer à la consolidation de l’infrastructure muséale de la ville de Meknès, et à la promotion du patrimoine muséologique national. Etalée sur une superficie de 880 m2, le musée est constitué de huit salles comportant l’exposition permanente, du bloc administratif et des réserves ; ainsi qu’une remarquable terrasse pourvue d’une vue imprenable sur la médina. Toutes